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REPAF on line, toujours à la pointe de l'information, avait déjà eu l'occasion d'alerter ses lecteurs en avant-première ; toutefois, devant l'importance de l'événement, une analyse plus fine se révélait nécessaire afin que la prise de conscience soit la plus large possible.
Repafiennes, Repafiens, l'heure est grave : notre consommation de bière est en chute libre ! Et c'est un pan entier de notre économie qui risque donc de disparaître sous nos yeux, emportant avec lui une part non négligeable de notre identité, ceci privant à jamais les génération futures d'un patrimoine remarquable que l'UNESCO a toujours refusé d'inscrire à sa liste des choses à sauvegarder, et ce malgré les appels répétés du gouvernement français. La situation est catastrophique : en trois ans, il s'est vendu 1 million d'hectolitres de bière en moins en Gaule métropolitaine. L'ampleur des dégâts est telle que notre consultant pour la consommation des ménages, Francis Bayroux, estime même qu'il faudrait cinq à dix canicules et aucun tsunami durant ces trente prochaines années pour sauver notre industrie de la disparition. Un bilan effrayant ! Bien sûr la production chinoise de Tsing tao n'est certainement pas étrangère à cette casse industrielle et sociale, toutefois il nous faut bien nous rendre à l'évidence de la cause profonde de cette catastrophe : les jeunes ne savent plus boire.
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