Suite au lancer de chaussure dont le président américain à été victime lors d'une conférence de presse en Irak, George W.Bush n'acceptera dorénavant de rencontrer de journalistes musulmasn que si l'entrevue a lieu dans une mosquée. En effet, dans de tels lieux, les gens ne portent pas de chaussure et ne risquent donc pas d'en lancer à la figure du président. D'après John M. Goodchoice, expert fédéral sur les affaires de sécurité, l'Amérique s'estime rassurée par cette mesure de bon sens.

De leur côté, les services secrets français craignent un attentat à la montre.

Ils ont été alertés par une vidéo circulant sur YouTube où des activistes français portant faucille et marteau montrent comment arracher sa montre (ou celle du voisin) pour la lancer à la figure d'un dignitaire. On ignore encore si cette vidéo est destinée à la préparation d'une opération précise, ni si une victime a été désignée. Mais deux mille policiers et quatre cents agents des services secrets ont été désignés pour enquêter sur cette affaire, sous le commandement direct et suprême de Nicolas Sarkozy.

D'après des sources bien refapafiennes, il se pourrait que le lancer de montre soit une action destinée à critiquer la volonté de la SNCF d'établir des horaires exacts (qu'elle ne peut assurer). Ces attentats se situeraient donc en droite ligne des sabotages des lignes électriques alimentant les TGV.

En attendant les résultats des investigations, par mesure de précaution, les huissiers portant chaussettes au palais de l'Elysée sont chargés de prendre, en plus des chaussures, les montres des personnes convoquées par le Plus Que Président.