|
|
La recherche Française
progresse
Une équipe de
scientifiques français vient de mettre en
évidence l'existence d'une unité de valeur
plus petite que le bit : "le kouye".
Denis Brizmenu de Brown, chef de projet,
explique : C'est impensable et incroyable a la fois ! Depuis
que l'informatique existe, nous étions persuades que
tout pouvait être ramené au bit, un 0 ou un 1.
Mais, nous venons de démontrer qu'un bit est compose
de 2 kouyes dont les valeurs peuvent être 00, 01, 10
ou 11. Etant entendu que bits et kouyes sont intimement lies
: lorsque le bit bouge (une ondulation par exemple) les
kouyes bougent de même avec parfois une amplification
du phénomène.
L'unité attachée aux kouyes a
été mise en conformité avec les
unités de chiffrage des bits, a savoir un
méga-bit est associe a deux méga-kouyes. Cette
découverte va remettre en cause toutes les bases de
l'informatique. C'est d'ailleurs pour cette raison que les
lobbys de l'informatique américaine ont fait tout ce
qui était en leur pouvoir pour étouffer
l'affaire. Des rumeurs circulant sur le Net,
prétendraient que les programmeurs de Microsoft
utiliseraient, pour des raisons économiques, des bits
sans kouye, en particulier dans le noyau de Windows NT4, ce
qui semblerait prouver que les informaticiens de Microsoft
n'ont pas de kouyes.
La découverte de l'équipe du
professeur Brizmenu aurait été perçue
par les développeurs de Microsoft comme un affront
personnel. Brizmenu s'indigne : On veut nous baillonner !
C'est une honte ! Bill Gates veut que l'informatique soit
son domaine exclusif et dicter ses propres lois, nous allons
protéger nos kouyes ! Aussitôt la
communauté internaute a réagi en
lançant la campagne : "Bill don't break our kouyes !"
Mais Brizmenu et son équipe
travaillent déjà dans l'optique de
découvrir une valeur annexe au kouye qui en
définirait la qualité : Le Morbak. Cette
dernière valeur étant inversement
proportionnelle à la qualité des kouyes.
A
n'en pas douter, ce sujet qui fait déjà grand
bruit va diviser l'opinion : avec ou sans kouyes. Les
premiers sondages semblent indiquer que les femmes sont
favorables a la seconde hypothèse.
|