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Le divorce de Nicolas et Pimprenelle
est anti conventionnel voire anti
constitutionnel
Au village personne n'en revient et Nounours
et le marchand de sable ont beau agiter leurs bras
douillets, les enfants de la terre sont
étonnés ….
La séparation du couple le plus
ancien et le plus glamour (se souvenir des pyjamas à
rayures bleu pour le garçon , rose pour la fille) de
l'histoire de la boite à images n'en finit pas de
poser des problèmes inédits aux
constitutionnalistes.
Selon Maître Pierre-Jean-Yves
Debongout, professeur de droit constitutionnel à
l'Université Libre Repafienne du stade de France, il
est "totalement impossible" que le couple vedette puisse
divorcer tant que le mandat de l'équipe de Nounours
pour endormir les enfants fatigués n'est pas
terminé ! Car en effet Nicolas
bénéficie non seulement d'une cote de
popularité anti choc mais surtout il
bénéficie de l'immunité
télévisuelle reconnue par la jurisprudence du
Conseil Céleste en tant que président des
rêves.
Pour Maître Pierre-Jean-Yves
Debongout, qui est conseiller auprès de la commission
repafienne sur la réforme des institutions,
l'impossible divorce est entraîné par
l'interdiction donnée à tout juge de se
prononcer sur le Président des Rêves des
Petits….
"La lecture que nous devons faire de
l'article 68 de la Constitution instituant
l'immunité", nous a expliqué Maître
Pierre-Jean-Yves Debongout est qu' "aucun juge, même
aux affaires familiales, ne peut convoquer et a fortiori
entendre Nicolas "
Pour le professeur, il est donc clairement
établi que "la loi fondamentale interdit le divorce
de Nicolas et Pimprenelle".
Ce d'autant plus, ajoute-t-il, que les faits
qui seraient reprochés à Nicolas par
Pimprenelle dans le cadre d'une éventuelle
requête de divorce ne pourraient s'être
déroulés, "par nature", que dans le cadre de
l'exercice des fonctions présidentielles, puisque le
couple était encore uni et "s'aimait ostensiblement
après le 6 mai 2007", jour de la dernière
retransmission de " bonne nuit les petits "
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